À l’origine, un delicatessen est une épicerie fine, dans les pays d’Amérique du Nord. Un endroit où l’on trouve des mets délicats, agréables, mais rapidement le terme a été galvaudé pour désigner un établissement de proximité, ouvert tard le soir. Aux USA et au Canada, ils désignent surtout des restaurants où l’on trouve des salades, des soupes, des omelettes, et des sandwichs préparés à la demande, comme chez Katz’s delicatessen à New York connu pour son sandwich au pastrami ou au corned beef. Une cuisine largement influencée par la cuisine juive, à base de bœuf.
À Lyon, Delicatessen rime avec BBQ américain. De belles pièces de viandes, des cuissons basse température et des marinades pointues. Un hommage à la cuisine afro-américaine de la Louisiane, adoptée dans tous les états, la réinterprétant avec ses épices et condiments. Ici, on remet sur le devant de la scène des recettes oubliées comme les cowboy beans, on croque férocement dans un épi de maïs… on fait honneur à la tradition du barbecue, l’érigeant au rang de religion.
• Il a travaillé dans une société de
sous-vêtements féminins à Barcelone.
• Il a vendu des dragées et des tissus à Canterbury.
• L’horloge Charvet des Musées Gadagne appartenait à son père, joailler rue Édouard Herriot à Lyon.
• Il a obtenu un MBA en marketing et un diplôme en gemmologie à New York au GIA, et a fini premier de sa promo.
• Son premier job était à Wall Street pour la Swiss Bank.
• Il a débuté dans la restauration, avant de se tourner vers le cinéma.
• Il est fan d’architecture et de John Pawsom.
On a la chance d’avoir des viandes d’exception. Et quand on vend plus d’une tonne de viande par mois, il faut un fournisseur qui tient la route et le rythme. Des animaux élevés sur la paille, nourris sans OGM, qui vivent à moins de 100 km d’ici et qui mangent de l’herbe fraîche dans des champs.
Ses légumes (choux blancs, choux rouges, pommes de terre…) ne subissent aucun traitement. Le seul engrais qu’ils reçoivent vient des vaches…
